Entretien avec UFFP :

Parlez nous de votre parcours: j’ai commencé dans le marketing multimédia et puis je suis partie au Canada pour travailler auprès d’une entreprise qui était grossiste textile. J’étais dans le merchandising. Puis retour en France, où j’ai commencé à travailler pour une régie publicitaire. Ensuite, j’ai enchaîné un poste dans l’entreprise familiale.

Vous aimez tout ce qui vous rappelle le Sud ? oui j’adore sa lumière,  ses couleurs et ses odeurs, comme la lavande, le thym…

Cet amour pour le linge de Maison cela vous vient d’où ? j’ai grandi avec une maman qui était très méticuleuse et qui avait une idée très nette de la propreté. On dormait dans des draps repassés qui avaient une odeur de lavande. Donc, je pense que cela doit sans doute venir de là…

Marseille, c’est là que vous vous ressourcez? Oui absolument, ma famille vit là bas. J’ai d’ailleurs, toujours ce besoin d’y retourner pour me ressourcer. J’aime les couleurs, les odeurs, l’animation dans les rues, les mélanges culturelles, c’est une vrai ville méditerranéenne…

Richardson Filles pourquoi? C’est un clin d’oeil aux femmes de ma famille qui ont toujours si bien soigné leurs intérieurs et leurs maisons.

Le beau du textile, c’est en vous? oui j’ai toujours adoré les tissus, les dentelles…  et  au départ étant de formation scientifique, j’étais toujours partagée entre mon côté cartésien (scientifique) et mon côté créatif. C’est aujourd’hui la réunion des deux qui se retrouvent dans ma marque.

Vous avez bien mûri votre projet? oui pour moi, l’enfer au départ, c’est de prendre une décision, mais une fois que cela est fait, je me lance sans aucune hésitation. Cela devient une évidence…