Dans le monde trouble de l’espionnage, il n’y a qu’une règle : tout est permis au nom de la sécurité de l’Etat – même de parler à l’ennemi n° 1. C’est exactement ce que Niël Barnard, alors directeur du Service national de renseignement (NIS), a pratiqué dans les années 1980. Sur instruction du président Pieter Botha puis Frederik de Klerk, il a entamé des négociations secrètes avec Nelson Mandela en prison. Aucun ministre ni conseiller n’était au courant.
Dans ce livre, Niël Barnard révèle, pour la première fois, les détails de ces 48 réunions, le long processus de libération de Mandela et les premières élections démocratiques. Les révélations de Barnard offrent un portrait fascinant de l’homme Mandela, de ses convictions, de sa stratégie, et reproduit un texte présenté comme son « testament politique ».
Le livre fait la lumière sur la vie quotidienne des espions à l’apogée du NIS durant les années 1980 et comporte plusieurs révélations : le NIS comme canal de communication secret avec les russes du KGB, les agents britanniques pris pour espionnage des capacités nucléaires de l’Afrique du Sud, les escapades sexuelles de certains ministres…
paru aux éditions Balland en mars 2016
Dans ce livre Niël Barnard révèle, pour la première fois, les détails de ces 48 réunions – le long processus de libération de Mandela et les premières élections démocratiques. Les révélations de Barnard offrent un aperçu fascinant de l’homme Mandela, ses convictions, sa stratégie et reproduit un texte présenté comme son « testament politique ». Le livre fait la lumière sur la vie quotidienne des espions pendant l’apogée de NIS dans les années 1980 et contient plusieurs révélations : le NIS comme canal de communication secret avec les russes du KGB, les agents britanniques pris pour espionnage des capacités nucléaires de l’Afrique du Sud, les escapades sexuelles de certains ministres…