Wangari MAATHAI : MAMA GREEN Africa forever !

  • By UFFP
  • 1 juillet 2013
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Hommage posthume à une grande dame africaine qui nous a quittés mais qui est IMMORTELLE, tant son legs pour l’humanité est impérissable.

 

Wangari Maathai, la feu grande altermondialiste, écologiste, prix Nobel de la paix. Nous avons voulu lui rendre hommage pour cette édition estivale de juillet et lui dire combien nous l’aimons. Voici le récit de sa vie mais surtout une interview obtenue à dix minute d’une conférence qu’elle devait donner il y a cinq ans presque.  Elle nous  l’avait accordée au travers de son cellulaire alors qu’elle était en voiture et devait se rendre  à une conférence  à Nairobi ( numéro que nous avons toujours gardé comme une précieuse relique) !

Une forme forte et douce à la fois, une femme généreuse qui n’ avait  jamais renoncé à donner aux autres et à se battre, un modèle pour nous toutes !

Une grande dame fauchée par la maladie, le seul combat qu’elle n’a pas réussi à relever et quelle avait jusqu’à la fin caché à ceux qui l’aimaient…

 

 Wangari_Maathai_by_Brigitte_Lacombe_3a__12_hi-res (Copier)

PRIX NOBEL DE LA PAIX 2004 « Le bien de mon peuple, de ma terre, de l’Afrique sont les moteurs de ce combat. C’est le combat de toute une vie» !

Voici le récit d’une vie et d’un combat

 

Par Fériel Berraies Guigny ( Texte Droits réservés United Fashion for Peace)

Photo DR: Brigitte Lacombe pour les éditions Eho

La kenyane Wangari Maathai avait réussi le pari fou, d’ouvrir la voie à une prise de conscience sur les dangers qu’encourrait la planète et en l’occurrence, l’Afrique. Elle en obtint un prix Nobel de la paix, en 2004. Le développement durable devenait dès lors, un instrument idéal pour promouvoir la paix entre les peuples. Le Green Belt Movement qui n’est ni Greenpeace ni le World Wildlife Fund (WWF), qui n’a pas la puissance financière et médiatique de la fondation Al Gore, offrait une vision afro-africaine du problème. L’ONG se bat depuis des années pour que l’Afrique conjugue protection de l’environnement et développement communautaire. Pour Wangari Maathai, l’Afrique doit désormais réagir en adulte et en toute indépendance. Une belle leçon pour les communautés africaines qui n’avaient jamais commercialisé leur relation à la nature (…) Aujourd’hui, elles sont pourtant menacées par la mondialisation, la privatisation et le bio-piratage.

 

Wangari Maathai n’a pas reçu le prix Nobel pour son seul engagement écologiste, elle a aussi été récompensée pour son patriotisme en faveur de la démocratie et du droit des femmes. Entre 1978 et 2002, le Kenya a vécu sous la férule de Daniel Arap Moi, qui n’a accepté l’ouverture au multipartisme qu’en 1991. S’il n’est pas de comparaison possible avec l’Ouganda d’Idi Amin ou l’Éthiopie de Mengistu Haïlé Mariam, le régime Arap Moi reposait néanmoins sur la violence, la corruption et le népotisme ;  les droits de l’homme étaient bafoués chaque jour ; nombre d’intellectuels, furent contraints de s’exiler ; et, en 1997, lors de l’élection présidentielle, plusieurs centaines de manifestants succombèrent sous les balles de la police. Les Nobel de Wangari Maathai ou de Al Gore récompensent donc toute une génération de militants qui, à défaut de pouvoir s’exprimer sur la seule scène politique, ont travaillé au corps les sociétés, pour combattre le problème de l’intérieur. Mme Wangari Maathai s’est entretenue avec moi, pour parler de son combat pour l’écologie et le développement durable en Afrique.

 

 

Bio Express :

Wangari Maathai est née à Nyeri (Kenya) en 1940. Depuis son enfance elle a montré un tempérament fort. Études primaires et secondaires dans des écoles catholiques; diplôme en biologie à l’université d’Arkansas et master de Sciences à l’Université de Pittsburgh (Etats Unis). A partir de 1971 elle enseigne zoologie et anatomie vétérinaire à l’université de Nairobi.

A ce curriculum elle aimerait ajouter un engagement politique. Mais le parti au pouvoir, la KANU (Union Nationale Africaine du Kenya), n’accepte pas sa candidature, étant donné son caractère critique et indépendant. Elle travaille comme volontaire dans le Conseil National des Femmes du Kenya et organise des campagnes pour que les femmes plantent des arbres. Le mouvement Green Belt (Ceinture Verte) a débuté en 1977: jusqu’à présent il a planté 20 millions d’arbres et s’est battu contre la déforestation, oeuvre de lobbies économiques et politiques. Aujourd’hui, des femmes et des handicapés physiques ou mentaux gèrent plus de 5.000 pépinières.

 

Entretien exclusif avec le Professeur WANGARI MAATHAI :

1) Parlez nous de votre vision du Continent africain et des dangers qui le guette? Quelles sont les autres parties d’Afrique menacées par la déforestation ?

Je pense en fait aux pays en bordure du Sud de l’Afrique, ceux qui sont notamment confrontés au désert du Sahara comme le Tchad et le Soudan. Mais la menace se retrouve aussi dans les pays plus au Nord, comme pour le Ghana. C’est un grand combat qui se livre dans ses régions avec l’avancée inexorable du désert qui est en train de réduire considérablement les terres.

Le Sud Ouest avec des pays comme la Namibie, la Botswana, l’Angola, ne sont pas à l’écart des dangers, puisqu’ils sont confrontés à l’avancée d’un autre désert, celui du Kalahari.

2) Qu’en est il pour l’ Afrique du Nord ?

Les pays de cette région ont très tôt compris les enjeux et les défis par rapport à l’avancée du désert, aujourd’hui ils se sont dotés d’une technologie qui leur permet de faire face aux aléas climatiques. Pour toutes les autres régions, ils sont un modèle de réussite. Mais s’agissant des pays du Sud, de notre Continent, à majorité des fermiers, il leur est difficile d’apprendre à faire usage de ces nouvelles technologies. C’est ce qui fait qu’aujourd’hui, ils restent complètement démunis face aux aléas climatiques, c’est aussi bien une question de moyens que d’éducation et ils n’ont pas encore réussi à apprivoiser la cohabitation dans le désert, ni à y faire face.

3) Vos combats cumulent la préservation de la biodiversité et la promotion des droits de l’homme au Kenya ?

Mon approche est avant tout une approche globale, la biodiversité est donc indissociable des droits humains. Il nous faut aujourd’hui parvenir en Afrique à la bonne gouvernance, et à la protection des droits de l’Homme. Cela est crucial si nous voulons cohabiter en paix. A mes yeux trois variables sont indissociables : bonne gouvernance, développement durable et paix. Ils sont inter reliés et participent à mon combat global pour la biodiversité.

Le Sommet de Rio et le protocole de Kyoto n’ont pas apporté la prise de conscience escomptée ? Que pensez vous de l’action de certains écologistes comme Al Gore ou le français Nicolas Hulot ?

Je suis toujours heureuse de découvrir ces initiatives individuelles ou issue de groupements régionaux ou d’initiatives internationales en faveur de la préservation de l’environnement. Il reste que, dans tous les cas de figure, c’est un combat de longue haleine, pour Al Gore comme pour moi, c’est l’engagement de toute une vie. Lui a commencé ce combat bien avant d’être nommé Sénateur, alors que moi, j’ai entamé mes campagnes de sensibilisation vers les années 70. S’agissant des rencontres comme le Sommet sur la Terre, ce qu’il faut se dire, c’est que ce sont avant tout des réunions de courtes durées, on a donc tendance à les oublier et forcément à oublier les résolutions qui vont avec. S’agissant du Protocole de Kyoto, tout ce que je peux avancer, c’est que les Nations Unies auraient pu un faire un meilleur boulot, si les Etats Unis ne s’étaient pas carrément désengagés. Car les pays du Nord ont plus focalisé sur son absentéisme que sur la nécessité de la mise en pratique du protocole !

4) Vous êtes une femme très engagée même politiquement, comment faites vous face aux pressions et aux menaces qui vous entourent ?

Oui mon travail, mes combats me mettent souvent face à des situations difficiles, simplement parce que j’aborde les problèmes selon une perspective globale. Au Kenya par exemple, je suis souvent confrontée à des problématiques en rapport avec la démocratie, l’Etat de Droit, la justice sociale et il est vrai que je croise par conséquent le chemin de certains politiques. Des politiques qui ne partagent pas toujours mes vues car plus investis dans des cheminements individualistes au détriment du peuple kenyan qui souffre. Je n’hésite pas à aborder les problèmes au risque de m’attirer des non sympathisants, mais je me dis que c’est mon devoir, c’est mon combat et je ne peux y déroger. Le bien de mon peuple, de ma terre, de l’Afrique sont les moteurs de ce combat. C’est le combat de toute une vie.

 

5) Vous restez très sceptique quant aux initiatives des organisations internationales, que préconisez-vous ?

Le plus grand danger qui attend l’Afrique c’est la dépendance vis à vis du Nord et des autres. Les leaders africains doivent réagir, réviser leur politique et apprendre à moins attendre des autres. Nous devons nous battre par nous même, trouver les moyens et les instruments de cette lutte par nous même. Valoriser nos compétences et nos ressources humaines, apprendre à mieux tirer profit de nos ressources naturelles. Apprendre à ne plus nous laisser exploiter par les pays riches. Et pour cela, seule la bonne gouvernance, la justice sociale pourra paver la voie d’une émancipation et d’une autosuffisance.

6) Pensez-vous que les problèmes africains doivent être résolus par les africains ?

Absolument ! et nous en avons les capacités ! mais tout se fera selon les décisions politiques des leaders. Notre Continent est riche, il est temps que nous sachions en tirer un meilleur parti, il faut mettre fin à la dilapidation de nos ressources que nous ne cessons de brader au Nord alors que nos populations restent privées. Il nous faudrait davantage s’investir dans le développement durable, plutôt que dans les guerres ethnocides et fratricides !

7) Que penser des réfugiés climatiques ne risquent-ils pas d’embraser la région ?

C’est en effet un phénomène à venir qui va avoir des conséquences terribles pour l’Afrique qui est menacée par deux déserts à la fois. Mais il y a une issue, et c’est le bassin du Congo qui est si riche en biodiversité, il pourra donner des espaces d’accueil aux populations du Sud, même du Nord ! C’est la raison pour laquelle, le Nord doit nous aider dans notre bataille pour garder nos arbres debout plantés au sol et non coupés !

8) Parlez nous de votre campagne “planter un million d’ arbres” ?

Nous avons lancé cette campagne en 2006 à Nairobi conjointement avec l’UNEP programme des Nations Unies pour l’Environnement et le Centre International Agro-forestier. Par ailleurs, comme vous le savez, je suis investie aux côtés du Prince Albert de Monaco par rapport à sa fondation sur la préservation de l’environnement. Je suis membre de son comité de Direction, bien que ne pouvant toujours assister aux réunions. Nous partageons donc un même combat pour la préservation des écosystèmes en danger. Aujourd’hui, je suis heureuse de dire que nous sommes parvenus à planter un million d’arbres. Mais même s’il y a encore tout un travail je suis confiante.

 

Celle qui plante les arbres. Présentation du premier livre qui l’ a fait connaitre en France, suite à la publication de son ouvrage aux éditions Héloise d’Ormesson

 

 

 

Wangari Maathai. Prix Nobel de la paix 2004

 

Editions Héloïse d’Ormesson.2007

 

Roman Autobiographique traduit de l’anglais ( Kenya) par Isabelle Taudiére

 

381 p

 

23 euros

 

12/15/2009. UN Messengers of Peace Meetings During COP15 Summit in Copenhagen

« J’étais autant l’enfant de ma terre que celui de mon père… et de ma mère» dit Wangari Maathai; aveu d’un amour inconditionnel pour la nature qui ne lui a jamais fait défaut. L’auteur nous fait cette confidence au tout début de son récit, se remémorant les souvenirs de son enfance, du temps où elle communiait avec dame nature. Au travers de cette autobiographie, nous rencontrons l’enfant, puis la jeune fille et la femme pleine de détermination qu’elle allait devenir. Une femme indépendante dans un Kenya indépendant, promise à un destin singulier. Une femme trop diplômée au point de se faire traiter de «femme blanche sous une peau de noire»

 

Une femme divorcée dans une Afrique restée profondément traditionaliste et misogyne. Wangari Maathai avait tout pour plaire et déranger à la fois, épousant un homme politique, elle devient malgré elle, un personnage public dans une société qui juge les femmes de tête. Epouse, mère, chercheur, enseignante, et militante écologiste, Wangari gravit les échelons de la société sans jamais se départir de cette souffrance muette qui l’accompagnait, celle de la ségrégation « je souffrais énormément de la discrimination dont j’étais victime comme toute femme»

 

Ce livre est un formidable voyage introspectif, une autobiographie qui est un hommage à un monde et mode de vivre : celui des tribus Kikuyus.

 

Wangari Maathai l’enfant Kikuyu a grandi dans le respect et l’admiration de la nature. La culture de la terre lui a permis enfant, de devenir cet adulte cultivé et libre.

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« Quand je n’étais pas à l’école, je me consacrais à mon autre grande passion, l’observation de la nature »

 

Les aînés de sa tribu ont aussi guidé ses pas, « je repense avec émotion à ce fonds de sagesse populaire que les aînés transmettaient aux enfants »

 

L’amour de la nature bien qu’inné pour elle, était aussi inculqué au travers de pratiques culturelles et spirituelles ancestrales.

 

Pourtant cette tradition s’est perdue, avec l’évangélisation, la modernisation, l’exploitation du bois par les colons. L’occidentalisation du Kenya aura signifié aussi la perte des valeurs et des richesses ancestrales « La plupart des kenyans ont perdu le contact avec la faune,  … en tournant le dos à ces traditions et habitudes jugées rétrogrades, nous avons rompu à jamais cet équilibre de la nature »

 

Wangari Maathai, très jeune a entrevu les dangers à venir, « je pressentais déjà qu’il était vital de préserver notre environnement. Mais je savais aussi que ce merveilleux équilibre de la nature était en danger»

 

L’auteur a grandi, pétrie de fortes résolutions, « Ce sont les expériences de l’enfance qui forgent notre personnalité et guident nos pas tout au long de la vie »

 

Militer pour l’environnement, le développement durable, la préservation de la biodiversité et les droits des femmes au Kenya a constitué le vaste programme de cette femme militante. Ni les arrestations musclées, ni les humiliations ne sont venues à bout de son combat.

 

 

 

 

UFFP

UFFP la Fondatrice et Présidente FERIEL BERRAIES GUIGNY :
Tour à tour mannequin, criminologue, diplomate et journaliste, la franco tunisienne Fériel Berraies Guigny a lancé en février 2011, une Association loi 1901 du nom de United Fashion for Peace. Parmi les activités de l'Association, une Caravane de mode internationale qui met en avant la paix, la tolérance, le dialogue entre les civilisations par le biais de la mode et de l'artisanat éthique. Née dans la foulée du printemps arabe, cette Association réunit tous les artistes du monde pour la paix, désireux de donner de l'espoir dans des régions en crise ou en transition. Depuis le mois de mai dernier, le magazine en ligne a aussi vu le jour pour être le portevoix de tous ses combats pour une planète éthique. La première programmation de la Caravane de mode se fera prochainement en février 2012 en Afrique subsaharienne sous la thématique de l'éducation pour la paix à la Triennale de l'Education en Afrique. Sept pays ont été les Ambassadeurs, Tunisie, Maroc, Cameroun, Afrique du Sud, France/Niger et Burkina Faso.
Fériel Berraies Guigny dirige par ailleurs, depuis des années deux panafricains New African en co rédaction et New African Woman/ Femme Africaine qu'elle a crée pour le groupe de presse britannique IC publications. Elle a longtemps été journaliste correspondante presse pour la Tunisie.

UFFP Contenu rédactionnel webzine :
Magazine français pour une planète éthique. Se veut une plateforme internationale pour une mode éthique qui défend la paix, la tolérance, l'échange, le dialogue entre les civilisations par le biais de la culture, de la création et de l'artisanat. Rubriques : 'Planète éthique' - 'Le rendez-vous des entrepreneurs' - 'Ethnical Conso : beauté bio, manger éthique' - 'Ethical Fashion' - 'Eco Déco' - 'Culture éthique' - 'Eco Evasion' - 'Société et éthique' - 'Femmes d'Ethique' - 'Prix Ethique' - 'Paroles Ethique'.
Mission de l'Association UFFP :
La Caravane United Fashion for Peace est née ce mois de février passé dans la foulée du printemps arabe et suite au massacre de femmes ivoriennes dans le marché lors des affrontements civils dans le pays. C'est une Association loi 1901française, née du désir de rendre hommage a à tous ceux qui ont perdu la vie pour un idéal de paix dans le Monde, tous ceux qui ont été sacrifiés alors qu’ils recherchaient simplement la dignité humaine. Cette Association et plateforme internationale est apolitique, sans coloration religieuse ou ethnique, elle se bat pour la mode éthique, défend par le biais de la culture, de la création et de l'artisanat, la paix, la tolérance, l'échange, le dialogue entre les civilisations.
Dans le farouche désir de combattre pacifiquement les injustices sociales et économiques à l'encontre des peuples par la culture, elle entend véhiculer des messages d'humanité. Son slogan le beau au service de l'autre, permet des passerelles, des rencontres et l’ acceptation des diversités couture. L'esthétique pour l'éthique reste son credo.

United Fashion for Peace entend fédérer le meilleur de la création internationale dans le respect de la diversité, des us et des coutumes. Tout un symbole de paix aujourd'hui, alors que le Continent continue de subir les soubresauts de son histoire.
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Pont couture entre les peuples du Monde, cette plateforme a pour vocation de faire la promotion d'une création éthique et sans frontières. Favoriser un jour le commerce équitable de ces produits, pouvoir faire venir les artistes sur Paris pour leur organiser des défilés et vendre leurs produits.
United Fashion for Peace, c’est un concept qui propose un défilé de mode « clés en main », une animation « décalée » à l’occasion d’une manifestation, d’un colloque, d’un forum, d’assises politiques, économiques, scientifiques.
United Fashion for Peace c’est la présentation d’artistes qui font vivre et revisitent une culture, c’est un témoignage de richesse et de savoir faire, c’est la promotion du développement durable avec l’ambition d’accéder à la conscience durable
United Fashion for Peace c’est un vecteur d'amour et le partage dans la création.
Pour les organisateurs il s'agit de créer un évènement mais aussi de véhiculer une philosophie de vie dans la création. Pour laisser quelque chose aux générations futures " loin des passerelles du luxe, UFFP est avant tout une histoire d'amour et d'amitié avec les peuples, leur création, leur identité et leur patrimoine au service de l'autre.

C'était une idée, elle est devenue un projet, aujourd'hui une Association qui a hâte de trouver des programmateurs, des sponsors et des partenaires afin de pouvoir sa première édition.
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A chaque programmation dans un pays où événement donné, sont mis en avant les créateurs du pays hôte qui sont dans l'éthique.
UFFP s'adapte à toutes les thématiques et les rencontres politiques, économiques, culturelles, développement, environnements, bio, bilatérales, multilatérales, fêtes d'indépendance, fêtes nationales, parité, jeunesse, droits de l'homme, ou encore pour médiatiser une problématique donnée de la région.
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