Métaux lourds dans la bouche: danger !

  • By SLKNS
  • 19 mars 2012
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Vérités sur les maladies émergentes, de Françoise Cambayrac
( éditions Mosaïque santé)

Oui, tout est prouvé : depuis 180 ans maintenant, de génération en génération, les doses de mercure s’accumulent dans les organismes humains.Pourquoi ? Comment ? Parce qu’on soigne les caries avec des amalgames dentaires bourrés de mercure !

Vous cherchez des preuves ?

Vous vous demandez pourquoi ces maladies « émergentes » ne touchent pas tout le monde ?

Vous doutez encore de la toxicité du mercure ?

Vous ne comprenez pas comment des personnes n’ayant aucun plombage peuvent aussi être intoxiquées ?
UFFP s’est entretenue avec la personne qui a osé lever le voile sur un lourd secret qui ronge notre santé et de celle de nos enfants.
Entretien avec Françoise Cambayrac
1/ Comment en êtes-vous venue à vous intéresser au sujet des « maladies émergentes » ? Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Nous étions malades, mes enfants et moi, et ne rencontrions que doutes et scepticisme de la part de nos médecins, parce nos symptômes ne correspondaient à aucune maladie classique connue du corps médical. Après 9 années d’incertitude et de perplexité difficiles à vivre, j’ai eu la chance de rencontrer un médecin exceptionnel, le Dr Melet, qui nous a sortis de l’impasse en nous expliquant l’origine de notre maladie, comment cet empoisonnement aux métaux pouvait perturber le fonctionnement de l’organisme, et comment retrouver la santé. J’ai accepté son aide et fait les tests qu’il nous proposait, tests qui se sont révélés positifs, et nous avons entrepris le traitement pour évacuer les métaux lourds logés dans nos organes.
Après guérison, ayant retrouvé la forme et la santé ainsi que toutes mes facultés intellectuelles, je ne me suis pas crue autorisée à garder tout cela pour moi et à profiter de la vie comme si de rien n’était, sans alerter les personnes qui vivaient la détresse que j’avais connue, qui se heurtaient à l’incompréhension de leur entourage et au scepticisme des médecins.
J’ai donc pris la décision de porter au grand jour les informations que le Dr Melet m’avait transmises, en écrivant un livre pour tout expliquer. C’est son décès brutal qui a déclenché la mise en route de ce travail ; je savais qu’il n’avait presque rien écrit.
Dès que j’ai commencé à rédiger ce document, j’ai éprouvé le besoin de vérifier la véracité et la pertinence de tout ce qu’il m’avait dit. Il me fallait des preuves scientifiques tangibles et solides pour étayer le propos, qui paraissait invraisemblable tant il sortait du discours communément admis et répété par les médias et les autorités sanitaires.
Pourtant je savais que tout était exact, car nous avions guéri, mes trois filles, mon petit-fils et moi, en éliminant les toxiques de nos organismes exactement comme l’avait prévu le Dr Melet, et il n’avait cessé de me répéter que les études scientifiques existaient bel et bien, mais qu’on faisait semblant de ne pas les connaître en France, pour pouvoir continuer de poser en bouche des plombages qui ne coûtaient pas cher à la Sécurité sociale et que les dentistes trouvaient pratiques et rapides à mettre en place.
J’ai alors pris la peine d’aller rechercher toutes les références scientifiques nécessaires, soit sur la base de données de Medline, soit dans les livres écrits par des auteurs chercheurs, médecins, toxicologues ou scientifiques pour la plupart allemands ou américains. Je les ai exposées dans Vérités sur les maladies émergentes dans un langage simple et accessible au grand public, de façon à ce que tous puissent comprendre comment ces chercheurs en étaient arrivés à de telles découvertes et conclusions.
Ce livre m’a déjà valu d’innombrables lettres de professionnels de la santé, médecins et chirurgiens-dentistes, absolument ahuris de ce qu’ils avaient lu.
Ainsi qu’un abondant courrier de malades en détresse se reconnaissant dans les témoignages et cherchant désespérément des solutions.

2/ Vous traitez dans votre livre des nouvelles « épidémies » de ce siècle : Alzheimer, autisme, allergies, mais aussi de maladies moins connues comme la fibromyalgie, la spasmophilie, l’électrosensibilité. Comment se manifestent ces dernières? Sont-elles très répandues ? Qu’ont toutes ces affections en commun ?
La fibromyalgie touche 2 millions de personnes en France, dont 10 % en invalidité totale. C’est une maladie atroce mais non mortelle, qu’on ne sait pas soigner. Les patients endurent d’épouvantables souffrances accompagnées d’une extrême fatigue, mais aucun traitement ne les soulage. Comme leurs analyses ne montrent aucune pathologie connue, personne ne les croit, ni leur entourage, ni le corps médical qui attribue ces troubles à des perturbations psychiques. La plupart des professionnels de la Santé les traitent avec des antidépresseurs, ou orientent ces patients encombrants et embarrassants vers des psychiatres. Les fibromyalgiques, les spasmophiles et les électrosensibles, très fatigués, incompris de tous, vivent dans une grande solitude.
Pourtant lorsqu’on effectue des tests de mobilisation du mercure, la plupart de ces malades se révèlent être empoisonnés au mercure et l’élimination des métaux lourds améliore leur état de santé.

3/ Les dentistes soigneraient donc les caries depuis 180 ans avec une substance qui empoisonne leurs patients ? Comment le mercure se répand-il dans l’organisme ?
Le mercure est un poison violent, on le sait depuis l’Antiquité, de nombreux textes anciens en attestent. Les plombages sont composés de 50 % de mercure (ce qui pèse environ 1 gramme) et d’autres métaux toxiques tels que l’argent, le cuivre et l’étain.
Patients et dentistes croient que ces métaux restent stables en bouche. Il n’en est rien. Le mercure se délite au fil du temps de plusieurs manières différentes : par abrasion lors de la mastication, par électro-galvanisme, et par évaporation – c’est ainsi qu’il est le plus nocif. En effet, ce mercure sous forme de vapeurs, qu’on respire toute la journée à petites doses, vient se fixer dans le cerveau avec une grande facilité, car il est comme « attiré » par ces tissus, qu’il endommage après quelques années. Il cible particulièrement le cerveau et le système nerveux.
Et c’est lors des soins dentaires que ces vapeurs de mercure, qu’on ne voit ni ne sent, sont les plus redoutables. C’est pourquoi il ne faut surtout pas courir chez son chirurgien-dentiste pour faire ôter ses amalgames. Les vapeurs générées par le fraisage d’un seul plombage, lors de sa dépose, équivalent au relargage quotidien d’un plombage en place pendant 2 ans !
Il faut donc absolument éviter cette démarche avant la désintoxication. Le Dr Melet me disait souvent qu’une personne qui fait retirer 10 plombages en une seule fois vieillit de 20 ans en 1 heure ! Et, en effet, certains de mes lecteurs m’ont écrit s’être retrouvés en fauteuil roulant quelques jours ou quelques semaines après une telle séance. Il faut donc être particulièrement bien informé et vigilant avant de procéder à ces retraits, pour avoir toutes les données bien en main.
Et puis, sachant que le mercure s’évapore au fil du temps… au bout de quelques années, l’amalgame n’en relargue quasiment plus. Le mercure s’est disséminé dans les tissus avoisinants, et dans le cerveau, les sinus, les autres organes, le système nerveux, tissus que l’on doit désintoxiquer en priorité.

4/ Si les amalgames dentaires sont aussi toxiques, pourquoi tous les porteurs d’amalgames ne sont-ils pas malades ? Et comment certaines personnes qui n’ont plus de plombages, ou n’en ont jamais eu, peuvent-elles quand même être intoxiquées ?
Le patrimoine génétique de chacun de nous est différent. Certaines personnes porteuses du gène ApoE-2 éliminent le mercure plus facilement que la moyenne. D’autres en revanche qui ont hérité de l’ApoE-4, ne l’élimineront pas ou très mal. Il est prouvé que les porteurs du double ApoE-4 ont 20 fois plus de chances d’être atteints de la maladie d’Alzheimer que la population moyenne. Pour éviter cette épouvantable épidémie de maladie d’Alzheimer à laquelle nous assistons actuellement, il faudrait ne jamais poser d’amalgames au mercure à ces personnes. Il y a tout de même 20 % de porteurs de l’ApoE-4 en France. Bref, l’intoxication concerne en moyenne 2 personnes sur 10.
Parmi les intoxiqués, on trouve beaucoup de personnes qui ont fait ôter leurs plombages par crainte de leur toxicité et que cette dépose, loin de leur être bénéfique, a empoisonnées. Cette opération est d’une extrême dangerosité pour le patient si elle n’est pas effectuée avec de grandes précautions que seuls quelques praticiens bien informés maîtrisent.
Quant aux personnes malades qui n’ont jamais eu d’amalgames, elles ont sans doute subi « un transfert placentaire » : le mercure traverse la barrière placentaire avec une très grande facilité (la nature n’a probablement pas prévu qu’il faudrait filtrer des métaux), et le fœtus est extrêmement réceptif et vulnérable à ce poison qui entrave son développement, surtout celui du cerveau.

5/ Puisqu’il ne faut surtout pas faire ôter ses plombages si l’on soupçonne une intoxication, quelle est l’alternative ?
Il faut tout d’abord faire effectuer des tests spécifiques pour déterminer la marche à suivre qui, en fonction des paramètres individuels, sera différente pour chaque personne. Il y a toute une préparation dont on ne peut pas se passer avant de procéder au retrait des plombages, un traitement à suivre, des précautions bien précises à prendre, et des consignes à respecter.

6/ Comment se fait-il qu’on n’entende pas parler en France du danger des amalgames dentaires ? Pourquoi certains médecins ne prennent-ils pas ce sujet au sérieux ?
Ni les médecins, ni les dentistes ne sont informés du problème. La toxicité du mercure en bouche est soigneusement minimisée, les données sont habilement biaisées, les études internationales volontairement ignorées. C’est une question d’argent. Obturer une dent est un acte qui est coté par la Sécurité sociale et, quel que soit le matériau utilisé par le dentiste, il doit facturer le même prix au patient. Or, mettre un amalgame prend beaucoup moins de temps que soigner avec une résine ou une céramique et ça coûte très peu cher. Comme les dentistes ne mesurent absolument pas le danger du mercure, ils emploient sans retenue les amalgames. Si, demain, les dentistes et les médecins mesuraient l’impact du mercure sur la santé, on n’emploierait plus d’amalgames. Et le remboursement des actes dentaires devrait être revu à la hausse, sinon les dentistes travailleraient à perte. Dans mon livre Vérités, j’ai réuni les informations vraies, délivrées de façon confidentielle dans des documents qui, bien qu’officiels, sont peu accessibles au praticien pressé. Il faut une réelle volonté de savoir pour parvenir à les dénicher.
L’intoxication au mercure n’est pas au programme de l’enseignement à la Faculté de médecine. Les médecins n’en entendent jamais parler, ne savent ni la détecter, ni la traiter. Votre médecin habituel croira en toute bonne foi que « c’est dans la tête ». En effet les symptômes que présentent les patients empoisonnés au mercure ne correspondent à rien de ce qu’il a appris, et les analyses sanguines classiques sont normales selon lui. Même en faisant une recherche de mercure dans le sang ou les urines, on ne trouvera rien, car le mercure ne reste pas en circulation. Il imprègne les organes essentiels (cerveau, foie, reins, etc.) dans lesquels il reste stocké tant qu’on n’a pas été traité de façon adéquate. Seuls une dizaine de médecins français, curieux et désireux de comprendre ces mystérieuses pathologies de certains de leurs patients qui ne guérissaient pas, ont fait l’effort d’aller se former à l’étranger et connaissent ces tests et ce traitement.

7/ Comment nous protéger et protéger la santé de nos enfants ?
Si une obturation est nécessaire, il ne faut s’adresser qu’à un dentiste sensibilisé qui ne travaille jamais avec le mercure. Éviter toute exposition au mercure ou autres métaux (matériel de cuisson en métal, aliments cuits ou emballés dans de l’aluminium, canettes en métal, piercing, etc). Et puis une bonne hygiène de vie, et une alimentation saine excluant des aliments et boissons sucrés, permettront d’éviter les caries. Le mercure se trouve dans certains produits dont on ne se méfie pas. Au fur et à mesure des expositions, si notre patrimoine génétique ne nous prédispose pas à l’évacuer spontanément, il s’accumule dans notre organisme, jusqu’à ce que l’intoxication se déclare. Si l’on ne peut pas se protéger de toutes les expositions aux métaux lourds, il faut au moins se préserver de celle, très importante, liée aux amalgames dentaires. Si une obturation est nécessaire, il ne faut s’adresser qu’à un dentiste sensibilisé qui ne travaille jamais avec le mercure. Éviter toute exposition au mercure ou autres métaux (matériel de cuisson en métal, aliments cuits ou emballés dans de l’aluminium, canettes en métal, piercing, etc). Et puis une bonne hygiène de vie, et une alimentation saine excluant des aliments et boissons sucrés, permettront d’éviter les caries.

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