Origin = A unique cooperation
The philosophy = A surprising vision
Production = An authentic product
An exceptional woman
She is a pig breeder and mother. More than a housewife: the heart of the household and head of the family. Catholic and superstitious. Modest though she is, she radiates mother nature’s primal strength as serenely as an angel. She laughs a lot and is always surrounded by children. Not so much a thinker as a doer. Rooted in the fertile soil whose fruits she picks and prepares with gratitude. Equally at home slaughtering a chicken or creating a healing herbal mixture. The knitter at home far off in the high mountains. Where together with her mother, daughter and friends she pours her whole heart and soul into creating iNTi clothing.
Against the grain
Their own label. With their own designs, their own factory, their own distribution network, their own dyers, packers, seamstresses and knitters. Unique. In fit, in colour, in material and comfort. And against the grain. Where others spread more diversely, iNTi focuses. Where companies are downsizing, iNTi unites. Where the world becomes more fragmented, iNTi brings people together. It is this going against the grain which typifies the clothing and the people behind it. The company builds on this individuality. With an increasingly extensive range of products all embodying this energy.
A distinctive jersey
An iNTi pullover is not just a sweater. It is the sum total of materials, manual labour and the triumph of freedom multiplied by alliance. The end result moulds itself to its owner’s identity. You feel comfortable with and in it, entirely unique.
An impressive range
Vests. Jerseys. Spencers. Pullovers. Dresses. Skirts. Shawls. Stoles. Ponchos. Caps. Hats. Caps. Ties. Bags. Belts. Tweed coats. Gloves. Socks. Children’s vests. Cushion covers. Throws. Crocheted curtains. Carpets. Wooden heads. Tables. Cupboards. Blankets. Lampshades. Tagua jewellery. Chains. Bracelets. Brooches. Alpaca jumpers.
And what’s left in the production process becomes colourful iNTi turtlenecks.
en de9couvrant par hasard ton site, je me rends mcopte de certains points communs e9vidents et certains e9le9ments synchrones e0 ma queate, c’est pourquoi je me permets un petit bonjour amical, en effet, maeetre reiki (shamballa) et formateur en certains soins, je suis appele9 depuis presque 8 ans vers un chemin et aussi un outil en moi qui m’e9chappe encore mais je continue ma de9couverte J’ai vu e9galement que tu e9tais forme9e (je me permets de te tutoyer) au reiki des fe9es, bien moi aussi, c’est pourtant assez rare )) je sais qu’il y a souvent des eatres de la nature (dont je suis passionne9 depuis longtemps) autour de moi, comme si ils me demandais de collaborer, meme si j’ai pas encore compris )) J’ai aussi e9crit un livre parlant d’un arbre aux feuilles magiques re9veillant le coeur des gens et d’un adolescent . en fait comme tu vois, c’est en essayant de comprendre ce chemin qui est le mien et le lien que j’ai avec la nature et le petit peuple que j’ai vu ton site ::: enfin, merci de ta lecture et n’he9site pas e0 m’e9crire si tu le sens. Bernard
Peut-eatre est-ce pour cela que Nietzsche a dit que la compre9hension empe8che l’action. (je m’excuse aupre8s de qui de droit pour ce vol de citation sans vengogre).Il me semble que ce que Spinoza nous propose ici, c’est une forme de chamanisme de l’ide9e, auquel la psychanalyse contemportaine n’est pas e9trange8re. En effet, cela me fait penser e0 un certain chapitre d’Anthropologie Structurale, dans lequel Le9vi-Strauss objecte contre la scientificite9 de la psychanalyse (mais non contre son efficacite9), en la comparant au chamanisme. Ce que je m’appreate e0 faire ici n’est sans doute pas tre8s gentil pour les gens qui ont e9te9 analyse9s ou qui ont fait une psychothe9rapie, mais tant pis, c’est trop tard j’ai commence9. Et puis, comme d’habitude il me faut restituer de me9moire, alors je m’excuse pour d’e9ventuelles impre9cisions.LS note que la gue9rison chamanique repose sur la pre9sentation par le chaman e0 son patient d’un objet qu’il lui montre comme n’e9tant autre que sa maladie. Par exemple, dans certains rituels, le chaman introduit une sorte de pelotte ou un autre objet dans sa propre bouche e0 l’insu du patient, pour ensuite l’en ressortir e0 un moment critique, indiquant au patient que la pelotte n’est autre que la maladie dont il souffre, que le chaman aura donc repris e0 son compte dans un premier temps, en la transfe9rant du patient vers lui, avant de la ressortir de sa bouche pour la pre9sentation.LS fait alors un paralle8le avec la phase de transfert et abre9action qui caracte9rise la fin d’une psychothe9rapie re9ussie. Et en effet, en lieu et place de l’objet du chaman, le the9rapeute pre9sente e0 son patient une ide9e claire et distincte de l’affect dont celui-ci pe2tit, c’est l’abre9action. L’explication ainsi mise en avant est suppose9e trouver son origine dans l’inconscient refoule9 du patient, dont il investit le the9rapeute au travers d’un transfert qui pre9ce8de imme9diatement l’abre9action. La comparaison avec le chamanisme est assez troublante Tout comme la pelotte du chaman, l’explication psychanalytique a pour effet de re9duire et limiter l’affect en lui donnant une forme que l’on peut contrf4ler. C’est e0 mon sens une illustration du processus qui est de9crit dans la citation de Spinoza.Mais pour eatre claire et distincte, une ide9e n’en est pas ne9cessairement exacte La distance culturelle qui nous se9pare des peuples pratiquant le chamanisme nous permet de reconnaeetre imme9diatement que la pelotte du chaman n’est pas la maladie du patient. Par ailleurs nous savons que le chamanisme n’est pas scientifique; pourtant il est efficace. Pour LS, la psychanalyse est une forme de chamanisme, dont la forme et les mythes fondateurs sont adapte9s aux occidentaux contemporains.