L’arbre à Karité
Depuis toujours, l’arbre à karité constitue une véritable richesse pour le Burkina Faso.
Originaire du Soudan, cet arbre endémique au Sahel et à l’Afrique de l’Ouest tient une place primordiale dans la vie des Burkinabè. Le Burkina Faso est d’ailleurs le 3ème pays producteur de beurre de karité après le Mali et le Nigéria.
Cet arbre qui peut être jusqu’à deux fois centenaire et mesurer près de quinze mètres de haut produit des fruits à partir de quinze ans. Quinze années auxquelles il faut en ajouter dix pour voir l’arbre arriver à maturité. Au terme de ces vingt-cinq premières années, l’arbre peut fournir jusqu’à 20 kilogrammes de fruits.
1 arbre = 20 kg de fruits = 10 kg de noix = 6 kg de noix séchées et bouillies = 4 kg d’amandes = 1,5 kg de beurre.
Ces fruits permettent de fabriquer le beurre, utilisé à tous moments de la vie. Il sert à l’alimentation, ou lors du rituel sacré de l’embaumement et encore à la beauté (protection contre les conditions climatiques, soins de la peau, des cheveux…).
Le beurre de karité possède, en effet, de nombreuses vertus pour les cheveux. Sa teneur exceptionnellement riche en insaponifiables et en vitamines lui confèrent des propriétés revitalisantes incroyables. En hydratant la fibre capillaire, le karité redonne aux cheveux souplesse, douceur et brillance. Ils sont renforcés et protégés du dessèchement. On comprend donc maintenant pourquoi K pour Karité en a fait son actif phare.
Le Karité, or des femmes
La tradition est restée bien ancrée dans la réalité. Aujourd’hui encore, les femmes sont seules à ramasser les fruits du karité.
Les techniques de récolte et de transformation, transmises de génération en génération, sont identiques depuis des siècles.
Comme une autre tradition, ce travail se fait dans la joie, dans un esprit incroyable de générosité, de rires et de fête.
La marque K pour Karité fait partie de celles qui utilisent du beurre de karité provenant de la coopérative UGPPK du Burkina Faso. En produisant du karité certifié bio par Ecocert et équitable par ESR, cette coopérative oeuvre en faveur d’une rémunération équitable des femmes productrices. Ces femmes sont alors encouragées à devenir plus indépendantes, via des cours pour apprendre la lecture, l’écriture, le calcul, mais aussi par le management, l’économie ou la gestion d’entreprises.
En collaborant avec cette coopérative, K pour Karité agit directement en faveur de ce développement. Les points clefs du Label ESR, par ECOCERT :
Label Equitable, Solidaire, Responsable, visant un juste partage des richesses dans le respect de l’homme et de son environnement.
Il implique l’application des principes internationaux du commerce équitable en favorisant la mise en place de filières durables.
Ceci passe par :
L’assurance d’un prix supérieur au cours conventionnel / La création de valeur ajoutée dans le pays producteur / Un versement proportionnel aux transactions en faveur d’un fonds social / L’interdiction de marges arrières / Le respect des conventions de l’Organisation Internationale du Travail / L’encouragement aux transports “propres” comme le ferroutage, le groupage ou les voies maritimes.
L’aventure de K pour Karité
Afin de participer activement à la réalité sur place, K pour Karité fait le déplacement jusqu’à la coopérative UGPPK.
En se rendant sur place, l’équipe du Laboratoire Ariland décide de s’impliquer encore plus dans une démarche qui leur semble
à la fois naturelle et évidente.
C’est ainsi qu’avec Ephyla, société chargée de développer des matières premières et des procédés d’industrialisation, K pour Karité a proposé une nouvelle technique pour, d’une part, ne plus avoir à torréfier le beurre de karité et d’autre part, augmenter la valeur ajoutée de leur produit en procédant à la transformation du beurre en produit semi-fini voire fini.
Ce transfert de technologie, bien que mal perçu à première vue, finit par être adopté quand les femmes productrices de karité comprennent tout ce qu’il peut leur apporter. Le beurre de karité produit avec la technique moderne étant de meilleure qualité, K pour Karité s’est engagé à l’acheter. Les productrices n’avaient donc aucune raison de ne pas faire évoluer leur mode de fabrication puisque, grâce à son succès grandissant, la marque pouvait leur assurer un volume de commande de plus en plus conséquent.
Elles ont ainsi pu prendre conscience que leurs conditions de travail s’amélioraient grandement, que les coûts de production diminuaient et que la qualité du beurre obtenu était incomparable.
Le beurre est beaucoup plus esthétique et sent naturellement bon, atouts essentiels pour un produit cosmétique.
L’objectif aujourd’hui est de vendre ce “meilleur” beurre aussi
à d’autres marques que K pour Karité, pour progressivement, ne produire plus que celui-ci.
L’alliance des ces trois entités (K pour Karité, Ephyla & UGPPK) ne se réduit pas qu’à un aspect social. Elles travaillent également à la protection de l’environnement. Le nouveau procédé industriel permet de diminuer la consommation de bois et limite donc l’impact de la fabrication sur l’environnement.
Grâce à des processus de production biologique, le karité obtenu est certifié par ECOCERT. En effet, aider les femmes à produire mieux n’aurait aucun intérêt si cela engendrait la destruction des ressources. Un meilleur procédé industriel doit, bien évidemment, protéger ces productrices de mauvaises conditions de travail mais également sauvegarder leur environnement et leurs ressources.
K pour Karité, en prenant activement part au développement d’une filière durable du karité, concrétise une démarche équitable que, finalement, toutes les marques devraient avoir.
Par son implication complète dans la coopérative, la marque l’aide à valoriser son produit, à en tirer tous les bénéfices possibles tout en respectant la nature et l’environnement.
Loin du donneur de leçon mais plus en tant que partenaire, K pour Karité devient un acteur véritable du commerce équitable et du développement durable.
La démarche de K pour Karité prend encore une autre dimension.
De rencontre en rencontre, d’émotions en émotions, l’équipe de K pour Karité choisit de s’engager d’une manière supplémentaire. Ils prennent part à l’action de SOS Enfants.
Cette association humanitaire aide les jeunes orphelins en les accueillant dans un centre et en les accompagnant jusqu’à l’âge adulte. Durant cette période, l’association leur apprend à lire, écrire et compter puis les forme à un métier. K pour Karité s’engage dans un projet d’atelier de coiffure pour que les jeunes filles apprennent ce métier.
K pour Karité est une vraie marque équitable. En achetant un de leurs produits, outre le plaisir que procurent ces soins au beurre de karité de meilleure qualité, on contribue au développement d’un monde plus juste et à la sauvegarde de la planète.
Quand rien ne va plus, en de9mocratie, il fault que le peuple s’exprime.Cela est nevedu impossible si nous respectons les re8gles impose9es par les partis politiques quels qu’ils soient.Le couplage e9lection pre9sidentielle-e9lection le9gislative tire la de9mocratie vers son niveau ze9ro.Il faut donc redonner la main e0 la citoyennete9 et revenir e0 la consultation directe du peuple sans le filtre des partis politiques.A la suite de ce petit commentaire, je vous prie de prendre connaissance des propositions que j’ai adresse9es e0 toute la presse le 9 courant et qui ne semble pas, sauf exception, en avoir pris connaissance. Re9gis ROQUETANIERELe Peuple doit dissoudre l’Assemble9e Nationaleavant l’e9lection pre9sidentielleCe n’est pas un but mais un moyen.La dissolution de l’Assemble9e Nationale, avant l’e9lection pre9sidentielle de 2012, ne vise pas e0 cre9er les conditions d’une alternance au be9ne9fice des partis politiques d’opposition.C’est une ne9cessite9 supe9rieure qui impose de pre9server dans la sphe8re e9lectorale de9sormais totalement soumise aux re8gles de la communication marchande et aux groupes de pression prenant leurs instructions e0 l’exte9rieur de notre pays pour des inte9reats prive9s, un espace de liberte9 permettant au citoyen de continuer d’exprimer ses choix en dehors des possibilite9s partisanes traditionnelles.Depuis la re9forme du septennat et le couplage de l’e9lection le9gislative avec l’e9lection pre9sidentielle, les de9pute9s ne sont plus qu’une simple courroie de transmission de la volonte9 pre9sidentielle.Une telle confusion est dommageable e0 l’e9quilibre ne9cessaire entre pouvoir exe9cutif et pouvoir le9gislatif.Par ailleurs, une simple alternance serait insuffisante car les partis politiques dits d’opposition, sauf ceux qui se situent eux-meames e0 gauche de la gauche, sont en re9alite9 tre8s lie9s e0 la mondialisation ne9o libe9rale (vote du Parlement en fe9vrier 2008) et sont incapables de s’entendre sur les sujets sociaux essentiels.Une dissolution qui n’aurait pour but que l’alternance laisserait en place l’essentiel des abresponsables bb que nous connaissons ou, par de9faut, favoriserait la naissance d’un re9gime disciplinaire sans que soit remis fondamentalement en cause l’e9conomie et sa finalite9, un plus juste et ade9quat partage des richesses rendant effectif le renforcement de la solidarite9.Ce serait aussi une erreur strate9gique, car redonner le pouvoir e0 l’opposition ou le laisser aux partis politiques pre9sents depuis des lustres dans la vie publique frane7aise, c’est oublier de prendre en compte l’immense me9fiance dont te9moigne la majorite9 des citoyens face aux diffe9rents personnels qui ont de9je0 exerce9s des responsabilite9s.Les dernie8res e9lections ont amplement prouve9 que la de9mocratie telle qu’elle est ve9cue, n’inte9resse plus la majorite9 des citoyens.L’opinion publique pourrait peut eatre, dans un premier temps, faute d’un e9clairage suffisant, donc manipulateur, se contenter d’une alternance mais la de9ception viendrait tre8s vite.Alors, la violence de9je0 pre9sente dans bien des propos qui de9noncent l’impossibilite9 de re9aliser toute transformation profonde par les voies de9mocratiques normales favoriserait l’irresponsabilite9 et conduirait e0 coup sfbr e0 l’instauration d’un re9gime autoritaire, ferme9 et durable, favorable e0 la concentration des capitaux entre quelques mains peu soucieuses des inte9reats de la majorite9 des personnes malgre9 un discours social habile.La dissolution de l’Assemble9e Nationale avant l’e9che9ance pre9sidentielle ne vise pas e0 ramener aux affaires des gens qui ont trompe9s l’opinion publique, qu’ils aient e9te9 de gauche ou de droite ou de n’importe quel mare9cage, ni e0 cre9er les conditions d’un libe9ralisme encore plus de9bride9.Cette dissolution, civique, a pour ambition de favoriser l’acce8s aux responsabilite9s d’une nouvelle cate9gorie de repre9sentants des citoyens qui ne soient plus issus du monde partisan, de ses re8gles et de ses mauvais usages.L’objectif est de faire e9lire de nouveaux responsables, aussi libres que possible, dans une orientation ge9ne9rale pre9cise, de9termine9e par eux-meames par de nouvelles pratiques civiques transparentes et pour d’autres motifs que ceux de l’appartenance e0 un clan pilote9 en sous main par des forces que les partis politiques traditionnels pre9tendent combattre mais e0 l’e9gard desquelles ils sont redevables.C’est en mettant fin e0 la pre9sence dans la vie publique frane7aise d’une classe politique qui dans son ensemble, gauche et droite a failli e0 sa mission qu’il est possible d’ouvrir une vraie perspective de changement.C’est une condition sine qua non !Pour que cette de9marche soit le9gitime, il convient de cre9er un nouveau processus donnant des chances bien re9elles de l’emporter e0 des candidatures diffe9rentes dans leurs fondements.Non pas contre les partis politiques traditionnels mais e0 cote9.Ces candidatures ne reposeront plus sur un clan : gauche, droite, centre ou embrigadement fourre tout e9cologique, etc., mais sur des choix profonde9ment civiques et sur des objectifs concrets transversaux.A tire d’exemple et sans que cela constitue un choix ferme9, la liste des cinq the8mes essentiels pourraient eatre la suivante pour, en cinq ans :1. Ge9ne9raliser, ame9liorer et simplifier la Se9curite9 Sociale en supprimant le ticket mode9rateur, en accordant la prise en charge progressive et inte9grale des frais d’optique et dentaires raisonnables.2. Remettre en cause le niveau des retraites actuelles afin de servir une rente qui ne soit jamais infe9rieure au SMIC sur lequel devra eatre base9 le revenu de solidarite9.3. Transfe9rer le versement des salaires e0 une Caisse Nationale du Revenu e0 cre9er, alimente9e par une cotisation patronale obligatoire e9quivalente, la qualification devenant le crite8re objectif de l’e9chelle des salaires.4. Renforcer et diversifier, tous les services publics, e9tendre leurs domaines d’application aux ne9cessite9s e9cologiques et environnementales, utiliser toutes les compe9tences qui sont parfois contraintes e0 l’inaction et au silence faute d’une mobilite9 suffisante des fonctionnaires.5. Instaurer une cotisation patronale d’investissement, obligatoire, permettant notamment aux petites et moyennes entreprises d’acce9der au financement de leurs investissements dans des conditions pre9fe9rables e0 celles qu’imposent le syste8me bancaire profitable actuel et faire de meame pour le logement.Cette liste, qui n’est qu’une proposition volontairement bre8ve, sera comple9te9e par les citoyens eux meames dans le cadre d’une consultation libre et permanente selon les dispositions qui suivent.L’e9laboration et la se9lection des the9matiques nationales peuvent re9sulter d’une de9marche simplificatrice inhabituelle en de9mocratie, e0 condition qu’elle e9chappe aux compromis habituels aussi douteux que discrets.Nous pouvons donc retenir comme opportune et applicable, la de9marche adopte9e pour la re9daction du programme du Conseil National de la Re9sistance : confier e0 un petit nombre de personnes de re9fe9rence le soin de se9lectionner ces quelques the8mes nationaux, ambitieux et concrets, par ce qu’il y a ne9cessite9 et urgence, afin que les avance9es sociales trop longtemps diffe9re9es voient le jour rapidement. Proce9dure de de9signation des nouveaux repre9sentants des citoyens : La se9lection des candidats e0 l’e9lection le9gislative doit venir de la base et e9chapper aux innombrables groupes de pression qui jouent aujourd’hui le rf4le de filtres politiques et commandent en amont, en sous-main.Comment ?Un comite9 local se constitue en toute liberte9 e0 l’e9chelon d’un quartier, d’une commune, d’un canton etc., (au maximum d’un arrondissement) pour œuvrer e0 la dissolution de l’AN et pre9senter e0 la nouvelle e9lection un candidat paritaire (un homme, une femme syste9matiquement).Ce comite9, constitue9 exclusivement de personnes physiques, se9lectionne ses the8mes prioritaires qui renforcent, amendent ou comple8tent les cinq the8mes nationaux retenus.Un cahier d’exigences hie9rarchise9es est re9dige9 qui sera partie inte9grante du contrat de candidature.Ce cahier une fois adopte9 e0 l’e9chelon de l’arrondissement par un vote des membres du comite9, le candidat est tire9 au sort parmi les membres volontaires du comite9.Cela limitera le rf4le excessif des beaux parleurs et re9duira l’emprise des ab techniciens bb de la communication.Le candidat paritaire, de9signe9 et qualifie9 par le comite9 local, tire9 au sort parmi ses membres signataires du cahier d’exigences entrera en compe9tition avec les candidats choisis par les partis politiques. Il demeurera soumis au contrf4le continu de sa base qui conservera la possibilite9 de le re9voquer e0 tout moment si les choix du cahier d’exigences ne sont pas respecte9s. Cela re9pond au besoin de cre9dibilite9 que le tirage au sort brut, directement e0 partir des listes e9lectorales, n’apporte pas.Sans enfermer ces citoyens-candidats dans un programme trop pre9cis, sujet e0 des discutions interminables secondaires, il est ainsi possible d’assurer une forte cohe9rence entre ces candidats citoyens, tout en respectant scrupuleusement l’orientation politique ge9ne9rale choisie collectivement.La dissolution de l’Assemble9e Nationale ouvre donc un vrai choix : continuer e0 faire confiance aux candidats politise9s (au mauvais sens de ce mot) ou oser des candidatures re9ellement citoyennes.Cette question ne peut et ne doit eatre tranche9e que par les citoyens eux-meames.L’intervention continue et directe des citoyens est assure9e par les responsables locaux pour chacun des the8mes retenus.Ces responsables par, the8mes, sont membres du comite9 et volontaires; ils sont eux aussi de9signe9s par tirage au sort.Leur mandat unique et non cumulable e0 tout autre, est de faire valoir les arguments essentiels du comite9 et d’en e9viter la dilution dans le temps.Ils be9ne9ficient pendant celui-ci de toute l’information disponible et peuvent reque9rir en permanence l’aide des services de l’Etat afin de maintenir leurs compe9tences au plus haut niveau.Ainsi se re9alise en continu la remonte9e de la volonte9 populaire : en partant de la base, de fae7on re9ellement de9mope9dique, pour aboutir e0 l’e9laboration d’un cahier d’exigences constitutif d’un mandat pre9cis.Il s’agit d’un puissant moyen de renouveler la vie publique en favorisant une re9activation importante de l’implication citoyenne.La le9gitimite9 de cette nouvelle cate9gorie de citoyens-candidats e9tant incontestable, elle est imme9diatement applicable et peut naturellement prospe9rer sans qu’il soit besoin de modifier la loi.C’est une modalite9 de9rangeante pour l’ensemble de la classe politique mais les de9fauts que celle-ci ne manquera pas de lui trouver renverront e0 ses faiblesses passe9es non avoue9es Le financement de ces candidatures citoyennes n’exige pas de mobilisations importantes de capitaux (jurisprudence de la commission des comptes de campagnes, de9cision rendue en 1994 par le conseil d’Etat ).C’est un moyen de mettre fin aux financements qui pourrissent tout.__________La dissolution de l’Assemble9e Nationale vise un autre but, aussi important mais comple9mentaire e0 celui de l’irruption dans la vie publique de nouveaux repre9sentants re9els des citoyens.Les de9pute9s issus de ce colle8ge citoyens-candidats, seront en situation de de9fe9rer en justice les de9cisions prisent par l’actuel pre9sident de la Re9publique au me9pris de la souverainete9 populaire.Il faut en effet que soit dit le droit pour un pre9sident de la re9publique d’annuler par de9cision du Parlement une de9cision adopte9e par re9fe9rendum.De la meame fae7on, la destruction syste9matique de notre syste8me de protection sociale, issu des choix exerce9s par le Conseil National de la Re9sistance (CNR) doit faire l’objet d’un examen impartial pour dire s’il e9tait justifie9 d’en faire don au ab marche9 bb.Les arguments critiques ne doivent prendre en compte que l’inte9reat exclusif, direct et certain des assujettis et tenir compte des rentes que ge9ne8rent la privatisation au be9ne9fice des seules entreprises en situation de capter e0 leur profit des revenus re9guliers tre8s importants.La question de l’e9nergie et celle de l’approvisionnement des matie8res premie8res importe9es doit aussi faire l’objet d’une analyse critique afin que l’e9quilibre et la re9ciprocite9 redonnent du sens au mot coope9ration internationale.Par ailleurs, l’engagement des forces frane7aises e0 l’e9tranger comme actuellement en Lybie ou en Afghanistan, apre8s une consultation de fae7ade des de9pute9s, ne saurait demeurer l’apanage d’une de9cision autoritaire des pre9sidents de la re9publique qui n’ont ni cherche9 ni ree7u aucun mandat explicite du peuple dans ce but.Celui-ci n’a jamais e9te9 directement interroge9 : la justice doit passer sereinement et permettre l’adoption d’une re8gle nouvelle qui permettra l’ajustement du budget militaire de notre pays aux seuls besoins de sa de9fense.Conclusion :La dissolution de l’Assemble9e Nationale, e0 bref de9lai, avant l’e9lection pre9sidentielle de 2012, n’est e9videmment souhaite9e par aucun des partis politiques classiques.Il s’agit pourtant d’un objectif concret, e0 la porte9e du citoyen qui peut eatre atteint par une mobilisation ascendante et progressive, en dehors de toute volonte9 d’enrf4lement.C’est une de9marche sans pie8ge dans laquelle beaucoup de nos concitoyens abstentionnistes ou votants par de9pit, lasse9s par les me9diocrite9s de notre vie publique, peuvent s’engager re9solument, en toute liberte9, avec enthousiasme.Il faut pour cela cre9er un comite9 de volontaires pour la dissolution de l’Assemble9e nationale.Il n’est pas besoin d’adhe9rer e0 quel qu’organisme que ce soit, ni ne9cessaire de rompre un engagement partisan pour participer pleinement e0 cette de9marche purement civique pour exiger et obtenir cette dissolution qui traduira, dans les faits, une large volonte9 de changement et d’innovation plus sfbre que les appels inte9resse9s e0 voter pour tel parti ou tel clan.La focalisation civique sur cette dissolution favorisera, par l’espoir, le redressement de la conscience collective et permettra d’agir en toute liberte9, en grand. La Tunisie et l’Egypte se sont re9cemment libe9re9es des pouvoirs qui ne leur convenaient plus.Nous devons nous inspirer de leurs actions et de leur courage pour sortir sans de9lais la France des difficulte9s qu’elle traverse qui sont la conse9quence directe et certaine des choix inadapte9s qu’ont fait tous les partis politiques qui y ont de9tenus le pouvoir depuis quarante.Le chemin de la paix civile qu’il faut privile9gier ne distingue pas les origines des citoyens qui font du civisme le cœur de leur de9marche. Re9gis ROQUETANIERE 09 05 2011
mon cher ami vos paroles me touchent et m’ont fait verser des larmes…nous nous sommes libérés de la tyrannie mais une autre plus grande s’est installée dans le Nord, faites moi l’amitié de lire le billet d’humeur qui se trouve dans Ethical people/ paroles ethiques » Tunisie Occident le bilan » vous comprendrez….