Tous les surfeurs de la planète connaissent Laird Hamilton et sa silhouette de géant blond reconnaissable entre des millions. Si peu d’entre eux se sont intéressés à son histoire personnelle et à son adoption sur une plage d’Hawaii par le légendaire Bill Hamilton, tous sont au courant de ses exploits sur les plus grosses vagues du monde et du bond en avant qu’il a fait effectuer à la pratique du surf en étant à la base, entre autres, du surf tracté, du Stand Up Paddle surfing ou encore du foil surfing. Ami de l’auteur depuis plus de vingt ans, Laird Hamilton signe pour Surf Culture une préface aussi drôle qu’émouvante et percutante.
ALAIN GARDINIER ————————— ————————— LAIRD HAMILTON ————————— L’HERITAGE DU ‘DUKE’ L’HERITAGE DU ‘DUKE’ SURF CULTURE Alain Gardinier Format : 24,5 x 28 cm – Prix TTC : 28 euros Parution : 03/06/2015 – ISBN : 978-2-7588-0522-9 Les Hawaiiens, les Californiens et les Australiens, bientôt suivis par les autres pays du surf, dont la France, ont contribué à donner au surf, hymne à la nature, à la musique, aux couleurs et aux sensations, un ensemble de traditions, d’histoire, de gestes, de références communes, disons donc « une culture ». Petit à petit, qu’elle vive à Biarritz, Honolulu, Coolangatta ou Florianópolis, la tribu des surfeurs en est venue à créer, avec beaucoup d’inventivité et de talent, ses propres codes, ses propres modes d’expression, ses propres repères. À la légende du surf s’associent une mode, une musique, des films et toutes les autres formes d’art, une façon de se nourrir, de se déplacer, des objets, sans oublier des héros, des idoles, ainsi que des sports dérivés. Surf Culture aborde et commente tous ces thèmes et toutes ces tendances en privilégiant trois époques personnifiées par trois grands noms du surf : Duke Kahanamoku (début du xxe siècle), John Severson (des années soixante à quatre-vingt-dix) et Laird Hamilton (la surf culture d’aujourd’hui). Au fil des pages et des décennies, ce livre raconte les premiers écrits sur le surf, les premières destinations, l’invention du surfwear, l’arrivée des magazines, de la bande dessinée surf, des « beach movies », de la surf music, des Beach Boys, des Surf Punks. Mais aussi des pin-ups, des tikis, du shape, des « Z boys », des romanciers modernes, des vidéos qui « déchirent », des peintres, des sculpteurs inspirés, de l’écologie, des « woodies », des watermen, de Jo Moraiz, des gangs et même des églises. Le surf s’honore également des noms de Jack London, de Charlie Chaplin, d’Agatha Christie ou encore de Wolinski. Le surf : plus qu’un sport, un art de vivre.